VirgiChienne

Je me présente je m’appelle Virginie, j’ai 30 ans et je travaille comme directrice des ressources humaines dans une grande boîte de marketing.

Je suis brune, les yeux marrons, assez mince, un petit cul ferme et une petite poitrine, 90B, mais qui a le mérite de ne pas tomber. A la ville, je dirige une équipe d’une dizaine de personnes. On me trouve autoritaire et dirigiste, je dirais plutôt que j’aime que les choses avancent à ma manière et selon le tempo que j’ai personnellement choisi ; j’ai déjà eu le cran de dire m e r d e à mes supérieurs, juste car une décision ne me semblait pas opportune pour la société. Au boulot, on me respecte, on me craint. Au boulot….

Car dans le privé et dans mon cercle sexuel c’est tout autre chose et mon pseudo virtuel en est le symbole, je me fais appeler VirgiChienne. La soumise à tous. Oui vous l’avez compris dans le sexe je suis une tout autre personne et j’ai remarqué dès mon éveil à la sexualité que je ne pouvais que prendre mon pied que si j’y étais contrainte, f o r c é e ; je me suis donc tourné rapidement vers le SM, en montant en gamme au fur et à mesure jusqu’à devenir ce personne de VirgiChienne et ainsi de pouvoir profiter de la vie comme je le souhaitais. Je vais donc vous raconter comment je baise avec mon maître Ludovic.

Nous nous sommes rencontrés via Internet sur les sites SM patentés et nous avons tout de suite accrochés ensemble ; je précise que Ludovic est mon maître et non pas mon petit ami ; je reste célibataire pour le moment et seulement son esclave sexuel. Nous nous voyons donc plus ou moins régulièrement selon ses désirs, mais il trouve toujours de quoi m’occuper, exigeant de temps en temps que je me doigte dans les toilettes de mon travail à sa demande, ou de ne pas porter de culotte alors que je suis en jupe courte. Il exige et je lui envoie des MMS pour lui prouver que je lui obéis….

En cas de désobéissance, car il arrive qu’il fasse exprès de me demander des choses irréalisables, je suis punie en général quelques jours après. Il me demande alors de l’attendre chez moi, porte ouverte, à quatre pattes, patiemment, seulement en soutif et culotte bien entendu. Les punitions sont diverses. Mais en général elles commencent par le fait d’être attaché, pieds et poings liés, assez fermement pour pas que je me débatte. Ainsi fait, il arrive en général derrière moi et commence par me cravacher avec notre instrument de prédilection. Aucune partie de mon corps n’est oublié, puisqu’il commence bien entendu par mes fesses, puis descend vers mes jambes, mes cuisses, ainsi que mon sexe. Puis il remonte vers mes seins, après avoir retiré mon soutien-gorge, puis mon cou et pour finir le visage. Il n’arrête que lorsque mon corps est pleinement rougi par ses coups, je n’ai pas le droit de lui demander d’arrêter.

Pour me faire taire, il utilise ensuite un gadget qui oblige ma bouche à rester ouverte, une sorte d’écarteur. Vous vous doutez bien qu’une fois posé, je n’ai qu’à lever la tête pour observer sa bite déjà énorme en face de moi, bite qu’il insère dans ma bouche ouverte pour la baiser, sorte de trou béant, il la rentre jusqu’au fond de ma gorge jusqu’à me tirer des larmes. J’adore ça. Puis il retire ma culotte et me baise en général, en levrette comme une chienne et sans aucune douceur ; il me prend comme une bête sauvage sans que je puisse crier, il lui arrive de poser un pied sur ma tête pour m’intimer l’ordre de me mettre sur le sol, tête contre le sol, et ainsi soulever ma croupe et lui offrir pleinement ma chatte déjà trempée de cyprine.

Virgichienne accepte tout. Il lui arrive de remplacer son sexe par des godes, de tailles diverses, qu’il enfonce dans tous mes orifices ; que ce soit la bouche, la chatte, ou mon cul qu’il aime écarter par de gros plugs noirs ébène. Il m’arrive donc de lécher une bite en latex pendant qu’il me baise la chatte, tout en me pluggant le cul. J’en ressors totalement défoncée, les orifices dilatés comme après une partouze. Virgichienne adore ça et en redemande. La dernière fois, il m’a également bandé les yeux, mais pas la bouche étrangement. Il m’ a ordonné au contraire de crier mon plaisir ; chose que j’adore faire.

Il a commencé directement à m’enculer, sans me préparer au préalable. Sa grosse queue avait su mal à entrer et brûlait mes chairs, je sentais que demain j’aurais encore du mal à m’asseoir. Mais quelle ne fut pas ma surprise de sentir un membre m’ouvrir la bouche et s’enfoncer dans ma gorge sans me ménager. Je compris qu’ils étaient deux à me baiser, que mon maître avait invité de la compagnie, ce qui me rendit moite immédiatement ; c’était la première fois que je me faisais deux mecs en même temps, de plus les yeux bandés je m’imaginais qui il était, qu’ils étaient plus nombreux à me prendre comme une salope.

Sa queue me forait la bouche, je bavais et crachais dessus un maximum, sans pouvoir le branler, pendant que mon maître me jouissait dans le cul. Je sentais son jus taper dans mon anus, puis s’écouler le long de mon cul jusqu’au sol ; puis il me fessa avec le fouet pendant que je me faisais baiser la bouche par son ami. Il ne tardait pas non plus à jouir puisque je recevais quelques secondes plus tard une large giclée de foutre dans la gorge, me faisant biffler par leurs deux queues, puis gifler jusqu’à ce que je comprenne que je devais recracher le sperme sur mon visage. J’avais bien été punie là.

Donc voilà quelques exemples de ce que je suis dans l’intimité. Je ne fais jamais l’amour comme on peut le voir à la télé, je me demande si un jour j’aurai besoin de tendresse et d’affection mais pour le moment j’aime vraiment ce que je suis ; et j’espère que vous aussi. Je suis toute mouillée à l’idée que des mecs me lisent, et aient envie de me baiser ainsi….. hum….